Pourquoi je ne recommande pas les iDevices (iPhone, iPad, iPod…) ?

Que ce soit avec ma famille, mes amis ou mes clients, il se passe rarement une semaine sans qu’on me demande pourquoi je n’ai pas d’iPhone et ensuite pourquoi je ne recommande pas les iDevices (iPhone, iPad, iPod, etc.).

Je me suis donc dit que je ferai tout aussi bien d’écrire un petit article répertoriant – de mon point de vue – les 10 inconvénient majeurs de ces appareils (comme l’iPhone 4) par rapport à la concurrence des nombreuses marques équipant leur téléphone du système d’exploitation Open Source Android (comme le Samsung Galaxy S2 que je possède actuellement et qui est en tout point supérieur à l’iPhone 4).

Si je reconnais volontiers que les iDevices ont marqué un changement radical et bienvenu par rapport à ce qui se faisait à l’époque de leur sortie, ce n’est à mon avis plus du tout le cas et les nombreux procès désespérés intentés par Apple à ses concurrents ainsi que le déclin de la part de marché de ces appareils en sont à mon avis la meilleure preuve.

Mon top 10 des inconvénients des iPhones, iPads et iPods

  1. Prix supérieur à la concurrence pour du matériel équivalent ou moins bon (~1.3 fois selon mes estimations).
  2. Pas de navigation GPS d’office.
  3. Pas de câblage standard (la grande majorité des autres fabricants proposent une connectique micro USB permettant le réutilisation des accessoires et chargeurs et évitant ainsi le gaspillage).
  4. Pas d’accusé de réception pour les SMS.
  5. Pas de possibilité simple pour changer la batterie (des batteries de remplacement à 5$ permettent de prolonger la durée de vie (ou d’utilisation) des appareils concurrents).
  6. Pas de possibilité d’étendre la mémoire (la grande majorité des autres fabricants permet d’ajouter une carte microSD de grande capacité en plus de la capacité d’origine de l’appareil, augmentant ainsi sa durée de vie).
  7. Copie de documents ou de fichiers multimédia vers ou depuis le téléphones difficile (les appareils Android par exemple sont reconnus comme une simple clé USB et il est possible de copier de la musique, des photos et n’importe quel autre fichier sans logiciel particulier ; la synchronisation avec le lecteur multimédia de son choix est également possible). Sur l’ordinateur d’un ami ou d’un collègue c’est encore pire et ne parlons même pas du support sur les systèmes d’exploitations libres !
  8. Activation et mise à jour sans ordinateur impossible.
  9. En cas de perte ou de remplacement, il faut réinstaller ou resynchroniser son appareil avec son ordinateur (pour autant qu’une sauvegarde ait été faite) ; avec un appareil Android, la simple saisie de son adresse e-mail et de son mot de passe restaure instantanément toutes les applications et paramètres du téléphone.
  10. Verrouillage du téléphone (simlock, drm, restrictions diverses imposées par les opérateurs de réseaux mobiles, applications interdites par Apple (flash est un exemple connu)

Je regrette souvent lorsqu’une personne de mon entourage fait l’acquisition d’un iDevice sans même considérer la concurrence – souvent par mimétisme ou à cause du matraquage publicitaire – et j’espère que cet article permettra à chacun de se faire sa propre opinion sur la question avant de se jeter les yeux fermés sur le nouvel iPhone 5 iPhone 4S ou le futur iPad 3 qui, à coup sûr (mais je serai heureux d’être pris en défaut sur ce point), continueront de rendre l’utilisateur captif de la fameuse maque marque à la pomme par tous les moyens.

N’hésitez pas à me donner votre avis ou à me contacter si vous avez besoin d’un conseil pour un téléphone, une tablette ou un baladeur multimédia correspondant à vos besoins plutôt que de choisir un appareil aveuglément en fonction de sa marque.

P.S. Comme ces questions reviennent souvent chez les utilisateurs actuels d’iDevices et les possesseurs de Macintosh, je tiens également à clarifier que les téléphones Android sont compatibles avec Mac OSX (Windows et Linux également) et qu’il y a maintenant tout autant d’application sur l’Android Market que sur l’App Store et que ces applications sont très souvent moins chères ou gratuites.

Mise à jour du 27 octobre 2011 : L’iPhone 4S étant maintenant sorti, force est de constater que la plupart des points soulevés dans l’article et dans les commentaires sont toujours d’actualité (l’activation et la mise à jour ont été améliorés, ce qui est un point positif).

Le nouveau modèle coûte en effet actuellement 1.8 (!) fois plus cher que le Samsung Galaxy S2 sorti il y a six mois avec un écran plus petit, un poids et une épaisseur plus importante, un processeur moins puissant et un appareil photo identique. Pas étonnant qu’ils n’aient pas osé l’appeler iPhone 5 puisqu’il s’agit en fait simplement d’un iPhone 4 remis au goût du jour (le boitier est identique et la plupart des nouveautés se situent au niveau du système d’exploitation).

GPG Key Transition

For a number of reasons, I’ve recently set up a new OpenPGP key, and will be transitioning away from my old one.

The old key will continue to be valid for some time, but I prefer all future correspondence to come to the new one.  I would also like this new key to be re-integrated into the web of trust. This message is signed by both keys to certify the transition.

The old key was:

pub   1024D/33AEDA47 2008-02-19
Key fingerprint = 7444 BFF0 7D4D ABDB A073  2395 7BCE 14BC 33AE DA47

And the new key is:

pub   4096R/A9832EBB 2011-01-28
Key fingerprint = 634C A485 0772 6F0A E3E9  5FE1 54A2 7BAD A983 2EBB

To fetch the full key, you can get it with:

wget -q -O- https://ernstfamily.ch/jonathan/gpg/jernst.gpg | gpg --import -

Or, to fetch my new key from a public key server, you can simply do:

gpg --keyserver subkeys.pgp.net --recv-key A9832EBB

If you already know my old key, you can now verify that the new key is signed by the old one:

gpg --check-sigs A9832EBB

If you don’t already know my old key, or you just want to be extra paranoid, you can check the fingerprint against the one above:

gpg --fingerprint A9832EBB

If you are satisfied that you’ve got the right key, and the UIDs match what you expect, I’d appreciate it if you would sign my key:

gpg --sign-key A9832EBB

Lastly, if you could upload these signatures, I would appreciate it.
You can either send me an e-mail with the new signatures (if you have a functional MTA on your system):

gpg --armor --export A9832EBB | mail -s 'OpenPGP Signatures' jonathan@ernstfamily.ch

Or you can just upload the signatures to a public keyserver directly:

gpg --keyserver subkeys.pgp.net --send-key A9832EBB

Please let me know if there is any trouble, and sorry for the inconvenience.

Thanks and best regards.

Help me make your music player or phone recognized as such under Linux

Modern Linux distributions and more and more music library applications (such as Rythmbox and Banshee for example) are using informations stored in freedesktop.org‘s media-player-info project in order to handle correctly most USB Mass Storage media players (i.e. those which appear as an external USB disk). This allows the operating system and those applications to :

  • ask you if you want your device to be managed by your music library management software;
  • display the name and icon of your device;
  • retrieve the necessary informations to copy music on the media player (format, location);
  • handle playlists.

In the future those informations might allow your software to manage correctly:

  • your album covers;
  • your videos.

How can you contribute to this project?

The media player database is growing fast but with the even faster growth of new devices arriving on the market it still often happens that your specific device is not perfectly handled. Having contributed a number of patchs to add support for unknown devices, I’m offering to do it for your device(s) (and those of your friends too) if you don’t want to spend time to actually write and send the patch yourself.

So if your device is not in this list or if it is there but the information stored in the corresponding file seems wrong or incomplete (you can notice such an issue by reading the file or simply by plugging your device in your computer with a recent Linux distribution), please do comment this post and give me some informations about your specific media player or phone (please try to use the following proposed format) :

Minimal informations

  • Device name: e.g. W995
  • Manufacturer:  e.g. Sony
  • USB ID:  e.g. 0fce:e112 ; to find this information you can type lsusb in a terminal window (Terminal can usually be accessed under GNOME in Applications/Accessories/Terminal) and find the line corresponding to your device after plugging it. If you’re unsure of the correct line, juste paste the whole command output.
  • Music folder(s): e.g. /Music (case sensitive)
  • Music formats: e.g. audio/mpeg;audio/mp4;audio/aac (or, if unsure, media file extensions (.mp3, .aac…)

Additional informations (optional)

  • Playlists folder: e.g. /Playlists (case sensitive)
  • Playlists formats: e.g. audio/x-mpegurl;audio/x-scpls (or, if unsure, playlist extensions (.m3u, .pls, etc.)
  • Cover folder:  e.g. /Covers (case sensitive)
  • Cover formats: e.g. jpeg, integrated
  • Video folder: e.g. /Videos
  • Video formats:  e.g. mp4&width=320&height=240 (or, if unsure, file extensions and resolutions)

What devices should not be reported here?

  • devices that are only managed using MTP protocol (those are handled by libmtp);
  • devices that are not using mass storage transfer (i.e. those which are not handled as a normal USB disk).

Whether you’ve got the last hot phone on the market or you found an obscure no-name MP3 player free in your cereals, please don’t hesitate to send those informations. Your contribution will benefit a lot of other fellow Linux users and your device will be better handled next time you update your system!

Aidez-moi à faire en sorte que votre lecteur multimédia ou votre téléphone soit automatiquement reconnu comme tel sous Linux

Les distributions Linux modernes et de plus en plus de logiciels de gestion de bibliothèque musicale (Rythmbox et Banshee pour ne citer qu’eux) utilisent les informations disponibles dans le projet media-player-info de freedesktop.org. Les informations stockées pour chaque lecteur multimédia utilisant le standard de transfert de fichier « stockage de masse » (i.e. apparaissant comme une clé USB ou un disque externe) peuvent ainsi être utilisées par le système d’exploitation et les logiciels pour notamment :

  • demander à l’utilisateur s’il veut gérer l’appareil avec son logiciel de gestion de bibliothèque musicale ;
  • afficher le nom de l’appareil ;
  • afficher l’icône de l’appareil ;
  • connaître les informations nécessaires pour copier de la musique sur votre périphérique (format, emplacement)
  • gérer les listes de lecture (playlists).

Par la suite, ces informations permettront certainement également de gérer :

  • les vignettes (covers) de vos albums ;
  • les formats vidéo supporté par votre appareil.

Comment contribuer à ce projet ?

La base de données des appareils supportés croît rapidement, mais étant donné le nombre très important de périphériques sur le marché, il arrive encore trop souvent que votre modèle particulier ne soit pas parfaitement géré. Ayant déjà contribué un certain nombre de patchs pour ajouter le support de plusieurs appareils, je vous propose de le faire pour le votre ou celui de vos connaissances si vous ne souhaitez pas créer et soumettre vous même le fichier aux responsables du projet.

Si votre appareil n’est pas dans la liste que vous trouverez sur cette page ou bien qu’il s’y trouve mais que les informations contenues dans le fichier correspondant vous semblent erronées ou incomplètes (vous pouvez vous en rendre compte en lisant le fichier concerné ou tout simplement en constatant un problème avec votre appareil lors de son utilisation sur une distribution Linux récente), commentez cet article en fournissant tout ou partie numberswiki.com

de ces informations (en respectant si possible le format proposé ci-dessous) :

Informations minimales

  • Nom de l’appareil : par exemple W995
  • Fabriquant :  par exemple Sony
  • Identifiant USB :  par exemple 0fce:e112 ; pour déterminer cette information tapez lsusb dans un terminal (accessible sous GNOME en général par Applications/Accessoires/Terminal) et trouvez la ligne correspondante à votre lecteur multimédia branché. Si vous ne savez pas quelle ligne correspond, collez l’ensemble de la sortie de la commande.
  • Répertoire de stockage de la musique : par exemple /Music (pensez à respecter les majuscules et les minuscules)
  • Formats de musique supportés : par exemple audio/mpeg;audio/mp4;audio/aac (ou, à défaut, les extensions supportées (.mp3, .aac, etc.)

Informations supplémentaires (facultatif)

  • Répertoire de stockage des listes de lecture : par exemple /Playlists (pensez à respecter les majuscules et les minuscules)
  • Formats de listes de lecture supportés : par exemple audio/x-mpegurl;audio/x-scpls (ou, à défaut, les extensions supportées (.m3u, .pls, etc.)
  • Répertoire de stockage des vignettes :  par exemple /Covers
  • Format de vignettes supportés : par exemple jpeg, intégré
  • Répertoire de stockage des vidéos : par exemple /Videos
  • Format de vidéos supportés :  par exemple application/mp4&width=320&height=240 (ou à défaut, les extensions et résolutions supportées)

Quels appareils ne sont pas concernés par ce projet ?

  • les appareils utilisant exclusivement le protocole MTP (ceux-ci sont gérés par le projet libmtp) ;
  • les appareils qui ne supportent pas le transfert par stockage de masse (i.e. qui n’apparaissent pas automatiquement comme un disque externe lorsque vous les connectez).

Que votre appareil soit connu ou qu’il s’agisse d’un lecteur MP3 sans marque, n’hésitez pas à envoyer les informations correspondantes, vos contributions profiteront ainsi à tous les autres utilisateurs de Linux possédant le même appareil que vous et vous disposerez d’un meilleur support à la prochaine mise à jour de vos logiciels !

Répertoire de stockage des playlists :

GeTax 2009 : paquets d’installation pour Linux

Après avoir créé des paquets pour GeTax 2008 (le logiciel officiel de saisie de la déclaration d’impôts pour les contribuables genevois) l’année passée, j’ai été contacté par l’administration fiscale pour produire des nouveaux paquets pour Linux pour GeTax 2009. Ces paquets ont été terminés pour le début 2010, mais je n’ai malheureusement pas eu le temps d’en parler ici à cause de problèmes de santé.

Avec mon collègue Jonas Luthi nous avons même mis en place un site de téléchargement où vous trouverez dorénavant tous les paquets GeTax pour Windows, Mac OSX, Ubuntu , CentOS, Debian, Fedora, Kubuntu, Linux Mint, Mandriva, PCLinuxOS, RedHat, OpenSuse more info

(!).

Je profite de la sortie d’un paquet mis à jour pour Ubuntu 10.04 (Lucid Lynx) 32 bits pour écrire ce bref article que je regrette d’avoir publié si tard (ceci d’autant plus que malgré notre bonne collaboration, l’administration fiscale n’a pas réussi à faire un lien ou publier mes paquets sur leur site de téléchargement officiel).

getax2009

N’hésitez pas à proposer des améliorations sur ces paquets dans vos commentaires.

http://getax.ernstfamily.ch

Mise à jour 20 mars 2011 : Suite à une forte demande, je viens de publier des paquets pour la version 2010 de GeTax dans cet article.

Réparation d’un iPod Nano dont les boutons ne fonctionnent plus

Ma mère m’a remis son iPod Nano dont tous les boutons sauf « Lecture » et « Hold » ne fonctionnaient plus. J’ai tenté de faire un reset, puis j’y ai installé l’excellent Rockbox pour vérifier que ce n’était pas un problème logiciel.

À ce propos, je profite de cet article pour vous recommander vivement de tester ce firmware alternatif pour baladeurs numériques en tous genres qui permet de lire beaucoup plus de formats qu’avec le firmware d’Apple et d’utiliser l’iPod « comme une clé USB », c’est-à-dire même sans iTunes et sans restriction de copie, surtout maintenant qu’il existe un installateur automatique et que le système d’origine n’est pas effacé).

Les tentatives logicielles n’ayant rien donné j’allais abandonner vu l’âge de cet iPod qui avait déjà bien vécu (et survécu à un lavage en machine), quand j’ai quand même décidé de le démonter. J’ai en cela été bien aidé par le guide de powerbookmedic.com que je remercie pour m’avoir également autorisé à réutiliser certaines de leurs photos.

Avertissement : Le démontage de votre iPod annule sa garantie, si votre appareil est encore sous garantie, faites-le vous remplacer.

Étape 0) Le matériel

Pour réaliser cette réparation, j’ai utilisé les outils suivants :

tools

Le scotch servira à protéger la partie métallique de l’iPod lorsque vous ouvrirez le boitier avec le tournevis plat et à recoller les boutons pressoirs après avoir nettoyé la rouille et la poussière. Le tournevis cruciforme permettra de retirer les 4 vis qui maintiennent le circuit imprimé en place.

Étape 1) Le démontage

Afin d’éviter de rayer le boitier de votre cher iPod, mettez un peu de scotch sur le haut de l’appareil en couvrant la partie métallique de l’appareil.

Ensuite, à l’aide d’un tournevis plat très fin ou d’un autre outil très fin, pénétrez entre la partie plastique et la partie métallique (attention aux doigts en cas de dérapage). Je vous conseille de commencer à droite du bouton « Hold ». Une fois le tournevis enfoncé, faites délicatement des petits mouvement de levier en vous déplaçant vers la droite et en faisant le tour de l’appareil afin de détacher la face arrière métallique de l’appareil.

Ouverture du boitier avec un outil spécial, un tournevis plat fin fera aussi l'affaire
Ouverture du boitier avec un outil spécial, un tournevis plat fin fera aussi l'affaire

Vous pouvez maintenant soulever la batterie avec le tournevis plat (attention de ne pas déconnecter les fils, sinon il faudra les ressouder).

battery battery2

Une fois que c’est fait, dévissez les 4 vis à l’aide du tournevis cruciforme (mettez les de côté et notez leur position, chez moi une des 4 vis est de taille différente). Les vis peuvent être recouvertes de scotch, mais vous pouvez vous en débarrasser.

screws

Vous pouvez maintenant soulever très délicatement (attention il y a encore des câbles qui relient la carte à la face avant de l’iPod) le circuit imprimé. Décollez le scotch noir qui maintient le câble de l’écran, puis à l’aide du tournevis plat, soulevez l’écran par les côtés en faisant attention de ne pas gratter la surface de l’écran LCD avec le tournevis sous peine de le casser définitivement. Si vous avez déconnecté l’écran par erreur, ce n’est pas grave, j’explique comment le reconnecter plus tard.

Il faut maintenant détacher le dernier câble qui est le câble qui relie la roue de l’iPod au circuit intégré. Pour ce faire, il faut réussir à pousser le plastique noir derrière la prise en direction du câble plat orange avec le tournevis plat, ce qui aura pour effet de libérer le câble.

cable

J’ai ensuite soulevé la partie métallique (à gauche sur la photo suivante) sur laquelle reposent les boutons de l’iPod, sorti la roulette de l’iPod et poussé le bouton rond vers l’intérieur pour le démonter.

L'iPod est désormais séparé en deux
L'iPod est désormais séparé en deux

Étape 2) La réparation

On voit ensuite que chacun des 5 boutons est constitué d’un petit bouton pressoir en métal collé avec du scotch sur le circuit imprimé. Dans mon cas, les boutons qui ne fonctionnaient plus étaient auréolés d’une substance verte : la rouille. J’ai donc décollé le scotch de chacun de ces boutons, enlevé le bouton pressoir, nettoyé la surface à l’aide de mon doigt, puis j’ai recollé chacun des boutons avec de nouveaux bouts de scotch (je n’ai pas récupéré les espèces de points noirs qui y étaient scotchés. N’hésitez pas à mettre deux petites couches de scotch afin que les boutons marchent bien après le remontage. Profitez en pour nettoyer le reste du circuit.

controlerÉtape 3) Le remontage

Si vous avez déconnecté l’écran LCD par erreur en tirant dessus lors du démontage, commencez par pousser la partie en plastique noir en direction du trou dans lequel le câble doit se loger avec le tournevis plat. Insérez ensuite le câble, puis repoussez le plastique noir en arrière.

Remettez en place le bouton rond sur la roue de l’iPod en faisant attention de le placer correctement (il y a un espacement dans le plastique qui sert à faire passer le circuit imprimé proprement. Ensuite replacez correctement la partie métallique sur laquelle reposent les boutons et vérifiez que chacun des 5 boutons « cliquent » bien.

Replacez maintenant la roue complète sur la face avant de l’iPod, puis remettez en place le câble de la roue à son emplacement (après vous être assuré que le plastique était toujours positionné en direction de l’entrée de la prise). Une fois la prise en place, repoussez le plastique vers l’arrière pour fixer le câble.

À partir de ce moment, vous pouvez allumer votre iPod pour vérifier que tout fonctionne correctement. Si ce n’est pas le cas (par exemple si un des boutons ne marche pas correctement), revoyez la façon dont vous avez scotché ou nettoyé ce bouton.

Test des boutons (ici, sans le boitier)
Test des boutons (ici, sans le boitier)

Une fois que vous avez confirmé que l’iPod fonctionnait correctement, replacez l’écran et le circuit imprimé sur la face avant de l’iPod, revissez les 4 vis et fermez le boitier en faisant attention que le bouton « Hold » sur le circuit imprimé soit dans la même position que le bouton qui se trouve sur le haut de la face arrière.

Et voilà comment j’ai réparé cet iPod, j’espère que ça sera utile à quelqu’un d’autre !

À l’abordage !

À l’occasion de mon anniversaire (aïe, j’approche dangereusement de la trentaine !), de celui de mes potes Boris, Marc et Fabrice je relaie ce cri de ralliement qui sert d’annonce à notre soirée du samedi 24 octobre au bateau. Si vous n’êtes pas un adepte de Facebook, vous pouvez donc profiter de votre visite ici pour rejoindre la liste des passagers en vous inscrivant à l’aide du formulaire ci-dessous.

Appel à toutes les sirènes, les mousses, les marins d’eau douce, les cachalots, le capitaine crochet, les flibustiers, le commandant Cousteau, les forbans, les jeunes poulpes et les vieux crabes: embarquement à 21h, retour au bout de la nuit.

Rhum frelaté et autres cocktails servis à la santé du capitaine pour les plus téméraires en début de soirée et meilleur déguisement récompensé par le trésor de ‘Arc-ham le rouge.

Flyer

Quelques précisions s’imposent pour répondre aux questions les plus fréquemment posées

  • merci de ne pas amener vos boissons, le bar « Au bateau ivre » et ses prix défiant toute concurrence vous attend (le champagne à la santé des capitaines est néanmoins toléré ;-))

  • le thème pour les déguisements est « à l’abordage », si vous venez sans déguisement vous ne serez pas refoulé, mais vous prenez le risque de subir le supplice de la planche en fin de soirée si Arc’ham le rouge est d’humeur joueuse

  • pour ceux qui ne connaissent pas le bateau : celui-ci ne navigue plus depuis longtemps, vous ne risquez donc pas de « rater l’embarquement », mais il faut savoir que si vous venez trop tard et que le bateau est plein à craquer, il faudra patienter un peu
  • Line-up :
    Dj Micka (all style, funk)  -> 21h00-23h00
    Dj M. (disco, all style)  -> 23h00-01h30
    Dj Olga (tzigane, bollywood)  -> 01h30-fin

On se réjouit tous de vous accueillir sur notre fier vaisseau d’un soir demain à partir de 21h00 !

Inscription sur la liste des passagers (important si vous ne voulez pas rester à quai ;-))

Les inscriptions sont terminées !

Au plaisir de vous voir nombreux, déguisés et en pleine forme !

Converting PHP scripts that still use « short-tags »

This is a translation of an older article (original in French).

If you kept bad habits or you just got some old PHP scripts that were still using PHP short tags (i.e. (<? ?> instead of <?php ?>) which are disabled by default in current PHP versions, the following script (shorttags.sh) is for you:

#!/bin/sh
find "$@" -name "*.php" -exec perl -i -wpe 's/<?=/<?php echo /g' {} ; 
-exec perl -i -wpe 's/<?(?!php|xml)/<?php /g' {} ;

After downloading this script, make it executable:

chmod +x shorttags.sh

Then you can use it like this (don’t forget to make a backup of your precious scripts, you never know…):

./shorttags.sh /path/to/your/php/files/

Note that you can specify more than one path from this command line.

Nouvelle version de scan2mail, mon script d’archivage de courriers

Je viens de mettre en ligne une nouvelle version de mon script d’archivage de courriers que j’avais publié il y a un peu moins d’un an.

Les principales améliorations sont les suivantes :

  • possibilité de scanner plus de 10 pages sans que l’ordre soit faux
  • le scan recto-verso ne nécessite plus de tourner chaque page individuellement
  • multilingue
  • mises à jour automatiques (peut-être désactivé)
  • possibilité de modifier la configuration du script dans un fichier séparé
  • gestion d’un « carnet d’adresses » pour les destinataires en mode graphique

Pour mémoire, le script peut être utilisé en ligne de commande ou depuis son interface graphique. Si vous souhaitez l’essayer, il suffit de le télécharger, puis de le rendre exécutable (par exemple en faisant clic droit->propriétés->permissions->autoriser l’exécution du fichier comme un programme).

N’hésitez pas à me laisser un commentaire si vous trouvez ce script utile ou si vous avez des propositions d’amélioration !

Vacances à Bali

Je suis rentré il y a quelques jours de Bali où j’ai fait deux semaines de plongée, suivi d’une semaine de visites et de plage.

Safari plongée

Après notre dernier voyage plongée aux Philippines, nous voilà reparti avec Sabrina un peu plus au sud pour un nouveau safari plongée à Bali.

Carte de bali avec itinéraire du safari
Carte de Bali avec itinéraire du safari

Cette fois les déplacements se faisaient en bus et les plongées depuis un bateau ou parfois depuis la côte. Au programme, beaucoup de plongées (2 à 3 par jour) et quelques visites culturelles (quand même ;-)).

plongee1
Sabrina et moi en plongée

Une première partie de vacances 100% réussie avec Christian, Valérie, Lucien et nos deux excellents guides Éloïse et Cédric. Bravo aussi à Abyss pour son organisation excellente comme d’habitude !

Photo de groupe
Photo de groupe du safari

Les volcans de Java

Vive le style !
Vive le style !

Une fois la première partie de ce voyage terminée, nous avons décidé d’aller découvrir les volcans de l’ouest de Java ainsi que le cratère de souffre du mont Ijen (et son lac, considéré comme le plus toxique au monde). Pour ce faire, nous avons convenu avec un artisan d’Ubud reconverti en taxi de nous servir de chauffeur pendant trois jours.

Cette partie du voyage était beaucoup moins organisée que la première et s’est transformée en vraie aventure y compris pour notre pauvre chauffeur Made improvisé qui ne connaissait pas du tout la route (défoncée et interminable) qui menait aux volcans que nous avions décidé de visiter.

Nous avons commencé par découvrir les volcans de Bromo (dès 4 heures du matin pour voir le levé du soleil) et notre chauffeur s’est alors transformé en véritable touriste (achetant photos et t-shirts souvenirs).

Nous sommes allé ensuite visiter un cratère voisin en partie à dos de cheval (j’ai coupé la personne qui tient le cheval sur la photo de gauche pour faire plus sérieux…).

Levé du soleil à Bromo
Levé du soleil à Bromo

Le jour suivant, nous sommes allé gravir le cratère du mont Ijen d’où des forçats extraient du souffre par paquet de plus de 100kg sur le dos pour un salaire d’environ 10$/jour (une fortune par rapport au salaire espéré dans les rizières). À cette occasion, nous avons été embarqué par une équipe de la télévision nationale indonésienne qui souhaitait nous interviewer au fond du cratère (là où les fumées toxiques nous obligeaient à respirer dans des tissus mouillés).

Le cratère du kawa Ijen et un porteur de souffre
Le cratère du kawa Ijen et un porteur de souffre

Au retour, nous avons rendu visite à la famille de l’employé de notre chauffeur à Java (qui nous avait accompagné car Made avait peur de ne pas comprendre les habitants de Java), puis quelques jours plus tard à la famille de Made qui nous a présenté son artisanat (il faut aimer, mais bon). J’en ai profité pour établir sa présence sur Internet 😉

Crâne sculpté
Crâne sculpté

Kuta beach et ces environs

Les derniers jours de ces vacances mémorables se sont passés à Kuta beach et ces environs (après avoir passé deux jours à Kuta et avoir eu l’impression d’avoir émigré en Australie, nous sommes parti direction Sanur, beaucoup plus calme).

Au programme, un peu de shopping, marchés et cours de surf 😉

Presque aussi à l'aise sur l'eau que sur le Web...
Aussi à l'aise sur l'eau que sur le Web (ou presque)

Pour finir, voici une petite galerie photo :

24 heures de voyage retour immédiatement suivi d’un week-end enterrement de vie de garçon de mon pote Boris et me voilà en pleine forme pour reprendre le travail !